9 mars, 1953

On enterre Staline. Il est déjà arrivé à la place Rouge. Je ne pleure plus. Il ne peut pas mourir. C’est seulement son corps qu’on amène au mausolée à côté de Lénine. Son nom, ses idées, et ses enseignements vont vivre pour toujours. Il est dix heures. Le meeting de Moscou commence.

Malenkov parle de Staline.

Ensuite Beria.

Ensuite Molotov, ému.

MIR ! Paix !

Et des pages vides

Julie accepta d’aller à la fabrique d’Antibiotique en construction près de Iasi et on a commencé à former des techniciens pendant une année.

Le 10 mars elle signa le contrat pour sept ans de travail là-bas.

Pour elle, cela signifiait de partir de la maison et l’environnement connu et aller entre des gens d’une culture très différents. En plus, s’éloigner de tous parlant hongrois qu’elle connaissait encore à Bucarest. Mais elle était prête à se sacrifier pour la cause.

Aucun commentaire: