9 mars 1988

Que c’est bien de vivre. Se réveiler le matin dans le bras de quelqu’un avec caresses…

Nager ensemble. Travailler – et sérieusement – il sait. Se reposer. Attendre ? Non. Je n’aime pas ça. Mais cela aussi dépend seulement de moi si j’attends, travaillle, lis ou dors. Avec le temps j’apprendrai – le faire attendre au lieu d’attendre. Peut être. Mais attendre habillée d’une façon « intéressante », en bonne mine et que cela compte à quelqu’un et qu’oil l’observe. Et bientôt il sera ici et me prendra dans ses bras et nous dormirons. Je vis.

Devant nous, beaucoup des choses nouvelles, intéressantes – cela dépendra de nous à y veiller, l’utiliser. Réfléchir. Le laisser donner, être femme, ne pas exiger mais recevoir avec gentillesse et donner sans l’affirmer, délicatement. Et pas d’un coup, pas trop – cela est difficile. J’aime tellement donner d’un coup, tout. Si déjà.

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