18 janvier

Plus tard j’aurai de nouveau un travail intéressant et François se rétablira. C'est bon d'espérer, de croire en l'avenir dans des temps comme celui-ci. Mes enfants sont merveilleusement à côté de nous dans les difficultés, c'est formidable !

Je pourrais être davantage avec François à la maison et mes journées seront plus libres, de toute façon quelque part en moi je le désirais. Et j'aurai plus de temps aussi pour apprendre, penser, écrire, discuter et rencontrer les gens. Nager, se promener, vivre - autant qu'on peut. Bien. Et les 9 prochains mois je pourrai faire au travail à peu près ce que je veux, sans m'en soucier trop.

Je pourrai travailler avec les étudiants, apprendre, rester à la maison s'il faut, quand je le veux, écrire des lettres. Comme ils ne veulent pas que j'écrive sur ce qui a été, s'est passé, retourner la boue, ils me laissent plutôt en paix. Ils ne veulent plus de moi, j'étais trop critique. C'est douloureux de montrer la vérité et la bêtise, on ne le supporte pas. Mais, Julie, tu verras, ainsi cela sera mieux dans l'avenir.

"Higy és bizva bizzàl !" = Crois et continue à espérer !

De nouveau Stéphanie a eu raison : je recevrai des indemnités de chômage et, si le reste est vrai, aussi...

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