27 octobre 1999

Hier, j’ai déjeuné avec Lionel.

Il n’aura pu me faire un plus grand cadeau, et je ne sais même pas s’il s’est rendu compte combien ce qu’il m’a dit m’a touché. Je crois qu’absorbé par ce qu’il racontait, il n’a rien remarqué. Je ne peux pas le citer exactement.

Quelque chose comme ceci: "J’ai expliqué à Anelise que pour moi il est très important que notre fille soit régulièrement avec toi, que tu peux lui apprendre une façon d’être qui est très bonne pour elle".

C’était encore davantage. Une reconnaissance ouverte, une approbation de la façon à être du fils vers sa mère signifie davantage même que s’il serait venu de mes parents. Surtout qu’avec ma fille, je sens plutôt l’envers.

Lionel est convaincu que mon influence sur ma petite fille serait fort bonne pour elle. Quoique, Anelise me ressemble beaucoup, même si eux, ne le voient pas. Je suis fort heureuse, fière.

Aurai-je le temps? Vivre et voir comment ma petite fille se développer?

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