7 février 02

Julie : spécialiste du ‘blitzkrieg’: agir prompt, quand il n’y a d’autre issue.

Combien mon arrière grand mère avait raison : de tout mal quelque chose de bien sort. Si je n’aurais pas oublié mes clés à la maison, je n’aurais pas allé les récupérer et n’aurais pas lu les âneries blessantes nouvelles de François.

Exit mon ex-mari, complètement.

Pas de loyer payé non plus depuis cinq mois. Ne me laisse pas aller récupérer mes affaires et m’accuse y avoir pénétré souvent en son absence : je n’ai pas été une seule fois, sans qu’il soit là, depuis que je suis partie. Quoi que ce soit, la somme totale de ses vilénies et accusations, m’ont complètement guéri de quelconques regrets que j’aurais pu avoir de lui.

Pleines de bonnes choses, en somme. Elles m’ont aussi poussé à agir, me défendre. Tout n’est pas encore plein miel mais au moins, j’ai pu commencer à agir. Attendre le sabre tomber (ou la deuxième chaussure) n’est pas mon truc. Je le peux, s’il faut absolument, mais il me coûte.

Aujourd’hui, sachant les données et aboutissants, m’est beaucoup plus facile d’agir, de vivre, d’aller vers le futur. Maigrir, m’occuper de mes muscles, mes cheveux, ma peau, ma santé. Peut-être même de l’écriture.

Une fois tout en bas, la roue va-t-il commencer à tourner vers en haut? J’espère, bientôt. A-t-il déjà commencé ou va-t-il encore descendre?

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