26 août 2002 du bus Greyhound

Des petits champs commencent enfin, ici et là.

On me parlait toujours des miles et miles des champs au milieu des États-Unis, j’aurais voulu les voir, au moins un peu, pour quelques heures. Ici, peu de champs encore, je ne suis pas encore entré assez. C’est un énorme pays.

Le bus s’arrête souvent.

Je voudrais faire, mais je ne peux pas, une photo du jeune noir le visage, oui, d’orang-outan, un foulard rouge autour de son cou, du jeune noir qui commence à chanter d’un coup, fantastiquement. Quel talent. Puis du garçon, amis aux yeux bleus claires, barbe roux, chapeau curieux. Non, je n’aime pas qu’on me photographie. Mes les chauffeurs de bus, sont ravis, eux que je les prenne avec moi à Paris.

Tiens, nous passons près d’une maison longue, longue, transporté sur un camion.

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