17 octobre 2002

J’éprouve un grand ressentiment (est-ce énorme?) contre la nouvelle madame Savoyard qui a pris mes affaires dans sa main et a décidé ceux qu’elle voulait et ceux dont elle et sa grande famille pouvaient se passer.

Comme le temps passe, je me rappelle d’autres livres (en plus de toutes les vidéos, tous les CD et cassettes) qu’ils ont « retenues ». En fait, volé. Certains, c’était lui qu’il a décidé ainsi sûrement, d’autres elle a dû dire que « ça m’intéresse » ou « ça pourrait intéresser tel (petit-fils). »

Je suis amère.

Je ne dois pas la devenir ! Mon visage (et âme) s’en ressentirait. En fait, j’ai énormément des livres ici, pourquoi je me tourmente tant pour les peu qui n’y sont pas ? !

Les vêtements laissés dans la maison de compagne étaient sacrifiés déjà, psychologiquement par moi, tant pis. CD et vidéo, je n’écoute ni regarde pas que fort rarement. Les livres, c’est une autre histoire, je m’en sens plus près d’eux.

Que veut, peut, compter tout ça relatif à ma tranquillité, place, libération ? je me dis avec mon raisonnement. Quelquefois, hélas, le cœur - ou est-ce l’inconscience ou l’âme ? - lutte avec l’intelligence. Le défi. Le vainc. Non ! Cette fois, je devrais les convaincre qu’ils ont tort.

C’est dur.

Je continuerai à lire les deux nouveaux livres sur le divorce.

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