1 mars (c)

En me promenant avec Slava, je me suis rendu compte que j'ai un tas des bonnes souvenirs aussi à Montmartre.

Tiens, j'ai entendu hier une chanson "je me rappelle, je m'en souviens"

Seule, puis avec Paul, ensuite avec François.

Le premier petit-dej au café en bas des marches pris "après" avec Paul, le lendemain de notre rencontre. Faux ou non, je nageais dans le bonheur. Et pas seulement physique.

Le petit parc où nous nous arrêtions pour discuter avec François et le resto où j'ai dansé avec lui la première fois depuis si longtemps, bloti contre son grand corps me tenant tendrement.

La cathédrale près de laquelle Abe m'avait embrassé vers deux heures de matin il y a trente ans déjà!

Le ciné théâtre où nous avons vu des bonnes acteurs, jeunes. Les femmes, visage un peu trop dur, trop "caractère mais les deux acteurs principaux étaient si vrais "à la Stanislawski".

Oui, chaque pierre presque est attachée à une mémoire là-haut. Le vieux église, ses fêtes et ventes et l'odeur de tieuil et merguez combinés dans ses fêtes, les crêpes partagés ou non, les musiciens. Tout cela n'était pas là hier, flottaient pourtant dans mon esprit. Où mon âme? Est-ce l'une plus célébral et l'autre plus émotif?

Le peintre me donnant permission le prendre puis disant à ceux le photographiant "Elle, au moins, a demandé, pourtant elle n'est pas professionnelle!"

Les boutiques de glaces, des souvenirs, les anciens affiches, cartes postales, tee shirt et les pavés inégales.

Lesquels de mes photos prises hier réussiront? Quelle dommage pour celles restant chez F. avec le garçon de café et l'homme servi! Peut-être, un jour je réussirai les récupérer. Sinon, je pourrais essayer en faire d'autres cette été ou printemps.

Pour le moment, je ne vois plus loin qu'ici deux semaines. Reviendrons-nous en petits morceaux comme craint Slava?

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